Édition originale.
Envoi a. s. : A Paul Signac, le plus sympathiquement du monde, Paul Adam.
Paul Adam fréquente alors assidûment les néo-impressionnistes (notamment chez Robert Caze) dont il rapporte dans son roman Soi, publié à l'époque du Thé chez Miranda, des bribes de conversations. Son personnage de Vibrac emprunte d'ailleurs ses traits à Dubois-Pillet et à Signac. Les derniers chapitres de Soi transposent sur le papier la radieuse polychromie de leurs tableaux avec quelques ajouts optiques empruntés à Pissaro et à Seurat.
Bel exemplaire dans une reliure caractéristique de la bibliothèque de Paul Signac.