Édition originale – extrêmement rare, nous dit Clouzot – en fait, quasiment introuvable, aucun exemplaire répertorié en vente publique depuis des lustres. Il passe d’ailleurs pour avoir été imprimé à compte d’auteur à moins de cent exemplaires.
Le Prisonnier chanceux, roman picaresque des débuts de Gobineau, ne fut découvert qu’en 1924 à la faveur de sa réédition dans les Cahiers Verts à partir d’un exemplaire miraculeusement retrouvé – celui-ci ?
Légères rousseurs et petites traces de mouillures, côte à l’encre sur les titres, sinon agréable exemplaire.