Remise en vente de la deuxième édition de l’Italien de 1797, donnée à tort comme la première française. Éléonore de Rosalba, traduction de Mary Gay Allard, publiée en 7 petits volumes en 1797, la précède de peu.
C’est la dernière œuvre publiée du vivant de l’auteur, aussi appréciée et célébrée que les Mystères d’Udolphe. L’action se déroule en Italie, en pleine période de l’Inquisition. La mise en scène est saisissante, les apparitions y ont leur place, les scélérats et persécuteurs sont presque tous des moines criminels, ses chambres de terreurs, ses couvents, ses monastères en ruines, en forment le fond. Les personnages, plus humains que dans n’importe qu’elle autre production du genre, sont traités avec une remarquable psychologie (Killen, pp. 52-55).
Rousseurs.