Librairie Pierre Saunier

Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extaseMes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase

Retoqué de Saint-Réac (Vicomte Phœbus).
Mes États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase. Spicilège des Œuvres incomplètes du Vicomte Phœbus, Retoqué de Saint-Réac.

Voie du Salut, n°1, Nanatour, Éditeur, 1995 ; in-12, broché. 63 ff. n. ch.

Livre vendu

Édition originale imprimée en novembre 1904 à l’imprimerie de l’Émancipatrice, 3 rue de Pondichéry – 7788-11-04.

Elle est absolument rarissime voire introuvable (à notre connaissance, l'un des trois exemplaires recensés - et celui qui a servi à la réédition Fornax).

Toutes les copies semblent à revoir depuis le lièvre de Mark Twain ajusté au ciboire nautique. Et puis personne ne sait d’où fut tiré ce tardif pétard à la typographie flamboyante un jour de grande pluie : rue d’Ulm (Farigoule, Chennevières), Montmartre (Dayros, G. de Lautrec), Bibliothèque de l’Arsenal (car une note du bibliophile Jacob…) ?

Assurément, les effluves du Lacrymatoire et des Exquisités liliales de l’Autheur, les toniques envolées Zarathoustroïdales des Transcendances titanesques et autres échanges Loumo-déliquescents ponctués de subliminaux crachotements pharmascopiques, séduiront les plus blasés.

On baratterait des heures durant pour une emphatique fiche art nouille, en pure perte. Devant cet extraordinaire et fantasque recueil, la notice est déjà cuite qui s’évapore en un vague processus de préciosités supercoquencieuses… tant nous échappant ...

Merdre !

L’amateur pourra toujours consulter le Collège de ’Pataphysique (carnet 8) ou se consolera avec la fastueuse réimpression Fornax de 2002, facsimilaire, minutieuse et roborative.

Les biftecks cuits à point ont aussi leur beauté.