Librairie Pierre Saunier

La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean DubuffetLa Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean DubuffetLa Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean DubuffetLa Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean DubuffetLa Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean DubuffetLa Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet

Dubuffet (Jean).
La Métromanie ou Les Dessous de la capitale par Jean Paulhan, calligraphié et orné de dessins par son ami Jean Dubuffet.

Paris, Edmond et Jacques Desjobert, 1949 ; in-8 carré, pleine toile bleue, titre au plat (cartonnage éditeur). 46 ff. n. ch.

8 000 €

Édition originale - illustrations de Dubuffet et texte de Jean Paulhan calligraphié au roseau taillé par Dubuffet puis lithographié.

Un des 135 exemplaires numérotés sur papier de chiffon gris souris, seul tirage avec 15 exemplaires sur papier d’emballage.

Envoi a. s. de Dubuffet : Avec le plus amical salut de Jean Dubuffet à André Malraux.

C’est Jean Paulhan qui amena Malraux dans l’atelier du peintre en 1943 – conquis, Malraux devint dès lors un de ses plus fervents admirateurs.

Avant La Métromanie, Dubuffet avait déjà réalisé une série de gouaches sur le thème du Métro parisien. Elles sont à l’origine du texte de Jean Paulhan – ne restait qu’à composer ce livre.