Auguste Strindberg
5 fiches correspondantes
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Strindberg (Auguste). Margit. La Femme du Chevalier Bengt. Drame en cinq actes et en prose. Traduction de Georges Loiseau.
Paris, Société du Mercure de France,
1898
Édition originale française.
Envoi a. s. du traducteur : à M. Jean Finot, souvenir de ses collaborateurs au nom de l'un avec le souvenir de l'autre Georges Loiseau 300 euros.
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Strindberg (Auguste). Créanciers - Le Lien - On ne joue pas avec le feu. Traductions de Georges Loiseau.
Paris, Paul Ollendorff,
1894
Édition originale française.
Envoi a. s. du traducteur : à l'oncle Durel, son incapable de neveu, aimant et reconnaissant, juin 1894, Georges Loiseau.
Bel exemplaire. 350 euros.
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Strindberg (Auguste). Père - Le Paria. Traductions de Georges Loiseau. Précédées d'une lettre de M. Émile Zola.
Paris, Paul Ollendorff,
1895
Édition originale française.
Envoi a. s. du traducteur : à mon oncle et ami Durel, bien cordialement, Georges Loiseau.
Bel exemplaire. 350 euros.
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Strindberg (Auguste). Le Plaidoyer d'un Fou. Roman. Révision française de Georges Loiseau.
Paris, Albert Langen,
1895
Édition originale.
Fort rare. 500 euros.
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Strindberg (Auguste). Mademoiselle Julie. Tragédie en prose. Préface d'Auguste Strindberg. Traduction de Charles de Casanove précédée d'une étude sur l'Œuvre de Strindberg par Georges Loiseau.
Paris, Albert Savine,
1893
Édition originale française.
Envoi a. s. de l'introducteur : A mon oncle Durel, père nouricier d'un fils qui n'est pas son neveu et l'est quand même par son amicale affection, Georges Loiseau.
L'introduction occupe les cent premières pages, la préf... 700 euros.