Librairie Pierre Saunier

Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-ArtsLe Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts

Rops (Félicien).
Le Diable au Salon. Revue comique, critique et très-chique de l’exposition des Beaux-Arts. Par Japhet, frère de Cham et fils de Noé, avec une foultitude d’illustrations sur pierre et sur bois, par les premiers maçons et les meilleurs charpentiers du Pays.

Bruxelles, Chez Caquet-Bonbec & Cie, rue des hautes épices, 1851 ; 3 volumes petit in-12 reliés en un, bradel souple fantaisie, non rognés, couvertures conservées (AlidorGoy). 48 pp., 7 h.-t. - 49 à 96, 15 h.-t. dont 1 pl. dépliante - 97 à 109, 32 h.-t.

3 500 €

Collection complète, rarissime, des trois numéros parus.

Le Diable au Salon compte parmi les salons caricaturaux les plus réussis depuis l’émergence du genre. Ses éblouissantes parodies surpassent en qualité et en intentions les productions de cette époque. Il y aura désormais des peintres jaunes, des peintres verts, des peintres rouges, des peintres violets, et des oranges, et des gris et des bleus pour faire se mordre la queue à la modernité. Nul doute que ce Diable inspira les Incohérents pour leurs catalogues (bien ternes à côté). D'ailleurs, après celui des Omnibus de Bertall (1843, sur le site), on y trouve un autre frémissement monochromatique dans un tableau mal éclairé ... 

Premières apparitions certifiées par les autorités compétentes de Rops, avant Uylenspiegel.

La vignette de couverture reprend exactement celle réalisée par Pelez pour le Salon caricatural de 1846 de Baudelaire (cf. notre Bazar à treize n°5). Un sacré clin d’œil.

Exemplaire charmant comportant quelques légères mouillures acceptables.

Muséal...